lunes, 13 de noviembre de 2017

ENCORE DES PHOTOS DES GARÇONS ET FILLES DE MAURICE! (Avec leurs prénoms)


De gauche à droite:
Au premier rang, Noé et Yass.
Derrière, Lou, William, Yohan, Ryan et Enzo.
Au troisième rang,, Tobias, Gilles et Joshua.


De gauche à droite, au premier rang, Julie, Ophélia, Orphée, Tess et Sarah.
Derrière, Emma, Jilianne, Page et Emma Marie.

miércoles, 8 de noviembre de 2017

ET NOUS VOICI, NOUS. SALUT, LES AMIS MAURICIENS!!!!

Primero D




Par terre: David
Debout: Carla, Sofía,Pablo González (derrière), Adrián, Paula Velasco, Andrea, Naomi, Nacho, Seydou, Paula Martínez, Pablo Fernández, Omar.




Primero BC


 Par terre: Iván, Hugo, Ainoa et Laura
Debout: Álvaro, Sara, Sandra, Inés, Lucía, María et Alejandro.
Wiam était absente. On la prendra en photo un autre jour.


LES ÉLÈVES MAURICIENS NOUS ONT ENVOYÉ UNE PHOTO


jueves, 2 de noviembre de 2017

LES FILLES FRANÇAISES NOUS RACONTENT LEUR SÉJOUR EN ESPAGNE


 JULIETTE



Je suis arrivée à Madrid ce dimanche 8 octobre et j’ai donc fait la connaissance de la famille d’Elisa, ses parents sont été très accueillants et chaleureux. Ils m’ont ensuite emmenée dans el centre de Madrid, il y baisait beau et très chaud. Il était l’heure de manger, alors nous nous sommes arrêtés manger une spécialité d’Espagne : des sandwichs de calamars, sur la Plaza Mayor. J’étais tout de suite dans le bain espagnol. Nous avons, par la suite, été visiter deux musées que je souhaitais faire à Madrid, tout d’abord le musée Thyssen puis le musée Reina Sofia où j’ai pu admirer le célèbre tableau GUERNICA. Nous avons, pour le goûter, manger les typiques churros con chocolate avant de partir pour Valladolid et que mon périple commence vraiment au sein de la famille Blanco-Charro.



Le lendemain j’ai fait mon entrée dans le lycée Juan de Juni. Débora, la professeure de Français nous a accueillies et fait visiter ce lycée bien différent du nôtre, en France. Les matières scolaires, quant à elles, sont identiques, seule la psychologie est une matière que je découvre. Après la première journée en tant que lycéenne espagnole, avec Elisa nous sommes rentrées manger chez elle, puis évidemment, j’ai dû m’adapter à faire la fameuse sieste. Dans la soirée Elisa m’a emmenée à la Plaza Mayor de Valladolid et nous avons fait quelques boutiques avant d’aller manger à Burguer King.

Mardi et mercredi, furent deux jours d’adaptation, en effet j’ai dû trouver mes repères dans ce nouvel environnement, puisque comprendre et parler espagnol n’est pas une tâche facile. Mercredi soir étant donné que c’était déjà le week-end, nous sommes sorties voir les amis de son quartier que je ne connaissais pas avant car ils ne font pas partie de son lycée.

Le jeudi, jour national férié, la mère d’Elisa a cuisiné une très bonne paëlla, ce fut un repas partagé avec toute sa famille réunie. Dans l’après-midi je suis partie seule avec ses parents à la découverte des églises et cathédrales de Valladolid puisque cette ville en est remplie. Le soir, nous sommes de nouveau sorties avec ses amis mais cette fois dans le centre ville.

Le vendredi, nous avons avec Elisa étudié toute la journée puisque nous étions toutes deux submergées de travail à faire. Cependant au début de journée, Sarah, la sœur d’Elisa, faisant des études d’esthétique, a voulu me faire une manucure et j’ai accepté avec joie. Durant la soirée nos avons promené le chien et vu quelques amis dans le fameux parc près de chez elle.

Samedi et dimanche ne furent pas très productifs, nous nous sommes principalement reposée, en regardant des films espagnols. Le samedi soir avec Elisa nous étions invitées chez un ami à elle et sommes donc sorties au début chez l'ami puis ensuite en centre ville en boîte de nuit.

Toute la semaine suivant fut davantage consacrée au travail, puisque je commençais à être submergée par mes devoirs français. Je suis donc allée travailler plusieurs soirs à la bibliothèque de Castilla y León avec Elisa et ses amis. Je la rejoignais souvent après son cours de mathématiques, et nous y restions jusqu’en fin d’après-midi. Un soir je suis allée à cette bibliothèque avec la mère d’Elisa pour emprunter deux DVD de films espagnols pour m’obliger à écouter la langue avec plaisir.

Le week-end arrivant, et le programme conséquent, Elisa et moi nous sommes reposées le vendredi soir. Le samedi, je me suis rendue au musée de sculpture de Valladolid avec ses parents puis nous avons bu un café accompagné de churros !

Le samedi soir nous nous sommes préparées, Elisa et moi, pour sortir avec ses amis en centre ville.

Dimanche, le réveil fut bien matinal puisque nous partions voir ses grands-parents à Zamora. Nous avons tout d’abord fait un arrêt au petit village de Toro qui s’ouvrait sur une incroyable vue, Toro étant un village en hauteur. Nous nous sommes baladés pendant une heure dans ce petit village avant de nous diriger vers Zamora. Nous av ons alors déjeuné chez sa grand-mère puis Elisa m’a fait découvrir cette ville.

Cette dernière semaine fut similaire au deux précédentes : travail, lycée, bibliothèque. J’ai cependant été voir deux films encadrés par le lycée ; j’ai été voir « Jamais contente » avec le cours de Français et « Sami » avec le cours d’Économie,  à l’occasion de la SEMINCI.

Je suis actuellement en cours de Lengua, vendredi 27 octobre, c’est mon dernier jour au lycée Juan de Juni, et c’est ici que se termine mon journal sur mon expérience espagnole. Je n’en garderai que de bons souvenirs.







LAURETTE



Avec ma correspondante et sa famille, j’habite à Cabezón de Pisuerga. C’est un vllage très joli, avec un paysage magnifique et des chemins de randonnée pour se balader. J’aime bien l’ambiance du village.
                Le lycée, lui, est au centre ville de Valladolid. C’est une ville très dynamique, il y a beaucoup d’animation. J’aime bien les villes espagnoles en général, car elles sont très colorées ; par exemple la Plaza Mayor de Valladolid, toute rouge et illuminée la nuit. C’est tr’es différent des villes françaises !
                Le lycée aussi est différent : en France, il est plus moderne, avec des ordinateurs et des projecteurs dans toutes les salles. Ce qui est bien ici, c’est le nombre d’élèves par classe : environ 15, contre 35 par classe en France. La relation prof-élève n’est pas la même : ici ils sont plus proches.
                Et je trouve qu’en Espagne les gens sont –en général- plus souriants qu’en France.


LAURETTE FRUCHET


miércoles, 1 de noviembre de 2017

CRITIQUES DU FILM "JAMAIS CONTENTE"



On rentre au lycée après avoir vu "Jamais contente" dans la SEMINCI. Et voici la critique de quelques-unes des élèves qui y sont allées: 


Jamais contente est un film qui raconte la vie d'une fille qui s'appelle Aurore. Elle a 13 ans et elle redouble Cinquième. Elle a deux soeurs et elle est au milieu, ce qui signifie qu'elle a le dessous.

Aurore est une fille rebelle, malpolie, égoïste,et elle est fâchée avec tout le monde, mais un jour elle trouve une opportunité qui va changer sa vie: elle commence à chanter dans un groupe de musique,  cela va l'inspirer pour composer des chansons et s'éloigner du monde contre lequel elle est fâchée.

À mon avis, c'est un film qui présente plusieurs personnes avec lesquelles ont peut se sentir identifié car beaucoup d'adolescents sont au milieu entre deux frèeres ou soeurs; alors ils reçoivent les pires commentaires autant des parents que de leurs pairs.

La chose que j'ai le plus aimé du film c'est qu'Aurore est principalement motivée par son pofesseur de français, un homme qui arrive à faire sortir les pensées et les connaissances d'Aurore. Grâce à lui, elle améliore ses notes et son comportement. Je crois qu'il faut plus de professeurs qui  motivent les élèves de la même manière que le prof d'Aurore. 
Par contre, ce que j'ai le moins aimé, c'est le comportement d'Aurore avec les gens qui sont autour d'elle. Des fois je peux comprendre sa frustration avec le monde, mais souvent son comportement est un peu radical.

Pour moi, ce film peut aider certaines personnes qui vivent la même situation car ils pourraient voir que même s'ils souffrent des circonstances injustes, ils ne doivent pas garder le pire de la situation, mais trouver des points positifs pour changer leur réalité, et comme cela, leur vie sera plus facile.

(Leyre Guillén de Benito. 4º ESO C)


Jamais contente es una película francesa que narra la vida de una típica adolescente de 13 años. La historia, protagonizada por Aurora, comienza con el primer día de instituto el año en que repite 1º de la ESO. Es una muchacha muy rebelde y gruñona como muchos de los jóvenes de su edad. Esta tiene una relación difícil con sus padres y hermanos, y en ocasiones tampoco se lleva bien con sus amigos hasta el punto de que tiene broncas con ellos. La directora de la película refleja muy bien cómo es la adolescencia en el mundo actual, los cambios difíciles y repentinos que se producen en esa etapa de la vida, a través de una chica que vive en una familia normal de hoy en día. De ahí que vaya dirigida a un público adolescente, que dependiendo de su carácter, se identifique en mayor o menor medida con Aurora. Lo que más me llama la atención es que aunque refleja bastante bien la vida de las familias actuales con hijos adolescentes, tiene aspectos que resultan poco creíbles. Hay que resaltar la naturalidad con la que los actores interpretan a los personajes.

(Vera de Castro Curiel. 3º ESO A)


Creo que esta película no representa bien a las películas francesas, porque no tiene actores ni actrices famosas. Me ha gustado la historia porque creo que no es posible en la vida. El personaje principal, la chica, es interesante ya que su carácter es diferente al de los otros jóvenes de la película. Todos los personajes son peculiares. El profesor de francés es bastante interesante pero debería haber estado más presente a lo largo de toda la película. El final me ha parecido raro.

(Laurette Fruchet. Alumna francesa de intercambio. 2º Bachillerato)

BONNES VACANCES À TOUS!!!

Et c'est fini. À tous un grand merci pour vos participations. On vous souhaite de merveilleuses vacances. Et si vous revoyez vos corr...